• Fungi de Yuggoth (couverture)

Fungi de Yuggoth et autres poèmes fantastiques

Une belle édition bilingue des Fungi de Yuggoth et d'une sélection de poèmes fantastiques de Lovecraft.
Pays d'origine :
États-Unis
Auteur(s) :
H. P. Lovecraft
Traduction :
François Truchaud
Illustrations :
Jean-Michel Nicollet
Éditeur :
Néo
Nombre de pages :
208
Numéro ISBN :
978-2-7304-0448-1
Année de parution :
1987

Table des matières

  • Continuités, par François Truchaud
  • Providence
  • A propos d'un village de Nouvelle-Angleterre contemplé au clair de lune (On a New-England Village Seen by Moonlight)
  • A Pan (To Pan)
  • La fiancée de la mer (The Bride of the Sea)
  • Nuages (Clouds)
  • La Terre Notre Mère (Mother Earth)
  • Oceanus
  • Les cloches (Bells)
  • La piste très ancienne (The Ancient Track)
  • L'idole (The Eidolon)
  • Le lac du cauchemar (The Nightmare Lake)
  • L'avant-poste (The Outpost)
  • La route aux ornières (The Rutted Road)
  • La maison (The House)
  • Le bois (The Wood)
  • La cité (The City)
  • Octobre (October)
  • Hallowe'en dans une banlieue (Hallowe'en in a Suburb)
  • Primavera
  • A un rêveur (To a Dreamer)
  • Désespoir (Despair)
  • L'horreur de Yulé (Yule Horror)
  • Némésis (Nemesis)
  • A M. Finlay, pour son illustration de la nouvelle de M. Bloch, "Le Dieu sans visage" (To Mr. Finlay, Upon His Drawing for Mr. Bloch's Tale, "The Faceless God")
  • Où Poe se promena jadis (Where One Poe Walked)
  • Brick Row
  • Le messager (The Messenger)
  • A Klarkash-Ton, seigneur d'Averoigne (To Klarkash-Ton, Lord of Averoigne)
  • Psychopompos
  • Fungi de Yuggoth (Fungi from Yuggoth)
  • Bibliographie

Le mot du site

Une belle édition bilingue des Fungi de Yuggoth, ainsi que d'une sélection de poèmes de Lovecraft sélectionnés par François Truchaud.

Les trente-six sonnets qui constituent les Fungi de Yuggoth furent écrits entre le 27 décembre 1929 et le 4 janvier 1930 ; souvenirs de souvenirs ou de rêves lointains, remontant à son enfance, c'est sans doute dans ses poèmes que Lovecraft se livre le plus : il y parle à la première personne, décrivant Providence, sa ville natale, les vieilles maisons de Nouvelle-Angleterre, ses ruelles ; il explicite la démarche de ses personnages et le processus de sa création fantastique.

« Chaque sonnet est l'esquisse d'un conte, et il suffit de quatorze vers à Lovecraft pour entraîner le lecteur dans un monde de cauchemars ou de merveilles à jamais perdues... sauf pour le rêveur ou le poète, ceux qui détiennent la clé d'argent ! » (François Truchaud).